SALY: Soirées dansantes d'homosexuels dans un hôtel de Saly
Soirée de gays, chaque mercredi, à l'hôtel Royam de Saly, c'est le calendrier offert par la direction à l'endroit des pédés en bord de piscine. Les employés n'adhèrent pas à cette rencontre spéciale, arguant que leurs m½urs et coutumes leur interdissent de telles pratiques.
Trois mercredis successifs de soirées dansantes à l'intention des homosexuels, c'est le décor qu'offre la direction de l'hôtel pour leur permettre de se rencontrer pour exprimer leur condition de vie et en se défoulant à satiété. Les deux premiers mercredis ont vu la participation de pédés qui sont apparus en couple et certains ont préféré venir seuls. Ils se faisaient remarquer tant par leur accoutrement que par leurs gestuels. Sous le rythme de deux chanteurs gays d'origine européenne qui faisaient leur play-back, l'atmosphère était électrique dans le cadre enchanteur de l'hôtel qui a refusé du monde. À chaque interprétation musicale, les «plays-backeurs», en tenue sexy, chantaient la femme et l'amour ou revendiquaient leur condition de pédés sous une salve d'applaudissements de gays et de gouines. Certains couples de gays préféraient être à l'écart, loin des regards, au fond du jardin, pour roucouler ou s'embrasser. Par contre, d'autres invités avaient la «trouille» de se retrouver dans cet antre. C'est le cas d'une Française qui chuchotait à l'oreille de son mari pour se désoler de leur présence avant de l'inviter à quitter les lieux. Selon des employés de l'hôtel, on a voulu mettre du sable dans les yeux des gens en «mixant» les invités, mais en réalité, c'est une soirée typique de «gorjiguènes».
Face à cette situation, les employés sont unanimes à décrier ces genres de soirées qui risquent de porter un grand coup à l'établissement. Certains craignent que la malédiction ne s'abatte sur eux compte tenu du fait que leurs m½urs et coutumes leur interdisent de telles pratiques.
Mais d'un autre côté les homosexuels estiment qu'ils ont le droit de vivre leur penchant. Et que la tolérance doit être de mise.
ALIOUNE DIOP

Arrestation de 24 homosexuels lors d’une soirée à Saly
Des homosexuels sénégalais sont encore tombés dans les mailles de la police. Ils étaient vingt quatre à vouloir passer les fêtes de noël ensemble dans une maison située au village de Saly Niax Niaxal. Mais les limiers se sont faits inviter à la partie et à alpaguer tout le groupe de gays. La...
via : www.pressafrik.com
Arrestation de 24 homosexuels lors d'une soirée à Saly
Des homosexuels sénégalais sont encore tombés dans les mailles de la police. Ils étaient vingt quatre à vouloir passer les fêtes de noël ensemble dans une maison située au village de Saly Niax Niaxal. Mais les limiers se sont faits inviter à la partie et à alpaguer tout le groupe de gays.
Arrestation de 24 homosexuels lors d'une soirée à Saly
La communauté des homosexuels sénégalais est encore dans une zone de turbulence. Vingt quatre d'entre eux sont arrêtés par la police de Mbour ce jeudi 24 décembre. Ils ont été pris dans une maison située à Saly Niax niaxal alors qu'ils voulaient passer les fêtes de noël ensemble. Sur invite de leurs amis homosexuels français, ces gays avaient loué une maison pour des fêtes de rêve. C'est ainsi que des homosexuels sont venus un peu partout du Sénégal, de Dakar, Somone, Mbour, Rufisque, Saly, etc. pour prendre part à ces réveillons spéciaux.
Les policiers ont pu réussir leur coup en infiltrant la bande. Un limier qui a réussi à draguer le cerveau de cette affaire s'est fait inviter à la soirée. Ce qui leur a permis d'avoir des renseignements précis et fiable sur le lieu de la bamboula des gays.
C'est au moment où certains gays se perdent en conjectures alors d'autres sont en train de se faire beaux que le policier a alerté ses collègues qui rodaient autour de la maison. Rapidement, les lieux sont ainsi assiégés. La police y découvre des perruques, des perles de séduction, du lubrifiant, des ongles artificiels, des produits pour se farder, entre autres objets utilisés par les femmes pour la séduction.
Après avoir arrêté les occupants, les hommes du commissaire Diallo vont ainsi tendre un guet-apens aux autres homosexuels qui s'étaient donnés rendez-vous dans cette maison. Un piège qui a produit des résultats avec l'arrestation d'étudiants et d'autres gays venants de diverses localités.
Ainsi, vingt quatre homosexuels seront appréhendés et conduits au commissariat de Diamaguène. Ils devraient être présentés au procureur de la République ce lundi 28 décembre.






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